Comité Régional CGT des Pays de la Loire

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Les mobilisations des secteurs professionnels

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Urgence pour les trains en Loire-Atlantique : exigeons un service de qualité, tous les 1/4h au + tôt

logo trains

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L'offre de transport actuelle est insuffisante pour assurer correctement le service et accueillir de nouveaux usagers et usagères souhaitant limiter l'utilisation de leur voiture. Chaque matin, des milliers d'habitantes et habitants du département font face à un réseau de transport surchargé et insuffisant. Des trains supprimés, des cars bondés, une attente interminable aux heures de pointe... sont le quotidien de trop d’habitants. État, Région, Métropole et Collectivités ont le pouvoir d'accompagner les habitant.es et de satisfaire leurs attentes et besoins. Pour une meilleure qualité de vie des habitantes et habitants, améliorons l'offre de transport pour tous les trajets : domicile/travail, études, loisirs... Pourquoi faut-il agir maintenant ?

Face à la crise sociale (flambée des prix) et climatique (nécessité de diminuer notre empreinte carbone), nous, habitantes et habitants de Nantes Métropole et des communes environnantes demandons une amélioration urgente du service, de l'attractivité et l'accessibilité du réseau des trains de proximité : fréquence/régularité, nouvelles dessertes, fiabilité/sécurité, élargissement des horaires, maillage avec le réseau Aléop.

Notre réseau actuel est inadapté aux besoins des habitantes et habitants du territoire qui veulent se déplacer en polluant moins, en dépensant moins, en participant et en bénéficiant d'un cadre de vie plus sain et sûr :

❌ Qualité de services dégradée (trains supprimés, surchargés, en retard, manque d'emplacements vélos,...).

❌ Manque d'ambition (fréquence, plages horaires).

❌ Infrastructures insuffisantes ou dégradées : entretien reporté, réseau saturé, fermetures de gares, de haltes et de guichets.

❌ Manque de matériel roulant et de personnel.

❌ Les propositions de création de nouvelles haltes ou gares, pôles multimodaux et les interconnexions avec les transports en commun existants s'avèrent notoirement insuffisantes.

❌ Le projet de Service Express Métropolitain actuellement présenté est insuffisant et manque d'ambitions.

Nous demandons aux différentes autorités organisatrices des transports de s'engager immédiatement pour les mesures suivantes :

✅ Des trains toutes les 15 min en heures de pointe dans l'aire urbaine et 30 min en heures creuses avec un service de 5h à 00h tous les jours. Avec une population grandissante, des trains toutes les 15 minutes permettraient de désengorger significativement les axes routiers et d’offrir une alternative viable à la voiture.

✅ Accès à des transports collectifs de haute fréquence à moins de 5kms pour les communes hors zones urbaines.

✅ Création de nouvelles liaisons Nord/Sud et Est/Ouest avec la diamétralisation du réseau en étoile (c'est à dire sans changement de train en gare de Nantes)

et la création de nouvelles gares multimodales comme à Sainte-Luce, Carquefou..

✅ Création de nouvelles haltes et gares, notamment sur l'île de Nantes, en plus de la gare prévue à Bouguenais.

✅ Étendre les services de vélos partagés, d'autopartage et les plateformes de covoiturage.

✅ Financement du matériel nécessaire et recrutement du personnel.

✅ Extension de la tarification unique et adaptée aux besoins.

Agissons ensemble pour mettre notre avenir sur de bons rails !

Cette pétition est à l'initiative du collectif FerNantes composé de : Alternatiba Nantes, ANDE, Attac44, AVEC Nantes, CGT Cheminots Nantes, UL CGT Nantes, UD CGT 44, Collectif Transport, Convergence Nationale Rail, FNAUT Pays de la Loire, FSU44, La France Insoumise 44, EELV Nantes, Extinction Rébellion Nantes, Gauche démocratique et sociale, Génération Écologie 44, GIGNV, Collectif « Le livre blanc pour le climat », MNLE Pays de la Loire Naturellement, Nantes en commun, PCF 44, Rezé à Gauche Toute, Rue de l’Avenir Grand Ouest, Sud Loire Avenir, UDB, 60 millions de piétons, Collectif Fer-Retz.

La centrale de Cordemais bloquée par la CGT, inquiète pour la reconversion

image mobilisation Cordemais

La centrale à charbon de Cordemais (Loire-Atlantique), actuellement à l'arrêt, était bloquée vendredi matin par la CGT, inquiète pour le devenir du projet de conversion de la centrale à la biomasse, a constaté une journaliste de l'AFP.

La CGT dénonce une position d'EDF "ambigüe sur le projet" de conversion.

"La publication de certains éléments (...) nous laisse à penser que l'entreprise détenue à 100% par l’État n'optimise pas, voire alourdit volontairement l'équation économique pour rendre le projet caduc", écrivait le 25 janvier la secrétaire générale de la CGT Sophie Binet dans une lettre adressée à Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et, depuis le dernier remaniement, de l’Énergie.

Vos représentants CGT de Cordemais vont rencontrer le délégué interministériel à l'accompagnement des territoires en transition énergétique M. Yves SCHENFEIGEL le 12 Février, le directeur d'EDF Luc Rémont le 19 février et Le ministre Bruno le Maire le 7 mars.

voir le courrier de Sophie Binet à Bruno Lemaire : 2024.02 courrier S Binet à B Lemaire

votez pour les TPE 2024

logo vote

Tous les 4 ans, 5 millions de salarié.es des Très Petites Entreprises (TPE) sont invité.es à élire leurs représentants dans les 4 commissions paritaires régionales.

Le prochain scrutin aura lieu en fin d’année 2024.

Pour la CGT même si ce salariat est très éclaté, avec moins de 11 salarié.es par entreprise, il ne peut ni ne doit être mis de côté. Les TPE représentent près de 20 % du salariat en France !

C’est pourquoi des commissions paritaires régionales ont été mises en place en l’absence de représentation directe entre les salarié.es des TPE et leurs employeurs.

Pour la CGT les voix obtenues par vos bulletins de vote sont un acte démocratique important. Nationalement, lors des 3 scrutins vous avez placé notre organisation syndicale très largement en tête, à chaque fois avec 10 % d’avance sur la 2ème organisation. Également pour la région Pays de la Loire, vous avez confirmé la CGT comme 1ère organisation syndicale. Cette confiance renouvelée nous permet de porter vos expressions revendicatives.

Celles-ci comptent tout autant.

voir le 5 pages ici : 5 pages TPE

Non à la fermeture du centre de formation Enedis de Cordemais

logo CGT Finances

Ce 15 décembre, les agents de la Direction de la Formation Professionnelle d’ENEDIS (DFP) de St-Etienne de Montluc ont reçu la visite de la Sénatrice Karine DANIEL pour échanger avec elle sur l’avenir de ce site.

Il y a tout juste 1 an, le 16 décembre 2022, à la veille des vacances de fin d’année, le directeur de la DFP était venu sans ménagement annoncé la fermeture du site pour l’année 2025.

Les agents accompagné.e.s par le syndicat CGT Mines Énergie 44 dénoncent cette décision totalement à contre-courant de la dynamique locale, départementale et régionale sur la transition énergétique et le développement des énergies décarbonnées.

Les salarié.e.s depuis 1 an, portent un projet alternatif qui d’une part propose le maintien des entreprises historiques (GRDF et ENEDIS) sur le site de St Étienne de Montluc s’inscrivant dans projet d’aménagement de la Communauté de Communes Estuaire et Sillon et d’autre part propose que d’autres acteurs du champ de l’énergie (EDF Enr, Framatome, etc.) présents sur le territoire s’implantent sur ce site pour devenir un Campus des Énergies et des réseaux à la maille de la région Pays de Loire et plus si affinités.

Ce choix incompréhensible pour les agents d’ENEDIS dans une région à la pointe sur la transition énergétique et des ENR interroge sur le volet formation professionnelle et continue des salarié.e.s du secteur.

La CGT a alerté l’ensemble des politiques et la préfecture de région Pays de la Loire afin que Marianne LAIGNEAU, Présidente du directoire d’ENEDIS s’explique sur cette décision, qui au-delà du volet social et organisationnel, aura des conséquences environnementales incompatibles avec le Plan Industriel et Humain (PIH) et la Responsabilité Sociétale de l’entreprise ENEDIS (RSE).

Les formateurs invitent l’ensemble des décideurs ENEDIS et acteurs politiques locaux à méditer sur cette phrase « Si vous pensez que la formation coûte cher, essayez l’ignorance… »

23 juin 2023 : toutes et tous au Conseil régional !

TER CGT

Appel intersyndical CGT Cheminot.e.s - UNSA ferroviaire - Sud Rail - CFDT cheminots

Les cheminot.es et usagers ne doivent pas payer pour la concurrence au TER !

La majorité au Conseil régional des Pays de la Loire aux manettes depuis décembre 2015 ne réfléchit pas aux besoins de transports de la population notamment en matière de ferroviaire, puisque sa seule préoccupation n’a été que l’ouverture à la concurrence. Alors que les enjeux économiques et environnementaux nécessitent un report modal de la route vers le rail, cette majorité n’a lancé aucune étude pour augmenter significativement l’offre de transport ferroviaire actuelle et à venir. Ils sont les alliés du gouvernement pour détruire méthodiquement le groupe publique ferroviaire. L’ouverture à la concurrence du TER, la liquidation de FRET SNCF, la création d’un GIE Optim’service, l’ouverture à la concurrence des inter-cités Nantes-Lyon, Nantes-Bordeaux, sont autant d’éléments démontrent le démantèlement méthodique et systémique du Groupe Public ferroviaire SNCF par une coproduction État et Région.

L’exploitation du Tram-train et des relations Sud Loire, premier des 6 lots TER ouverts à la concurrence, sera attribué à l’occasion de la plénière du Conseil Régional des 22 et 23 juin 2023.

L’intersyndicale, CGT, UNSA, SUD Rail, CFDT, appelle les cheminot.es et les usagers à une journée d’action le 23 juin 2023 ! • 10h00 : prise de parole devant la direction TER au 131 bd Dalby à Nantes ; • Manifestation jusqu’au Conseil régional ; • 11h30 : prise de parole au Conseil régional + barbecue revendicatif ;

Pour l’intersyndicale, les cheminot.es et les usagers ne doivent pas payer le prix de la casse du service public ferroviaire.

Pas de transfert de cheminot.es sans garanties : • De sécurité de l’emploi ; • De qualification et de filières métiers; • De protection sociale ; • De conditions de travail ; • D’activités sociales ; • De déroulement de carrière ;

Les Usagers ne doivent pas payer la privatisation : • Par l’augmentation tarifaire ; • Par l’augmentation des verbalisations ; • Par la perte des guichets ; • Par la perte de garantie de correspondances ; • Par la complexification de la gestion des circulations ;

Quel que soit la décision du Conseil régional sur l’attribution du lot, notre combat devra être le même pour garantir les droits des Cheminot.es et des usagers !

Victoire syndicale à Cordemais

Cordemais Sept ans de lutte ont abouti au maintien de l’activité de la centrale de Cordemais. Le 20 janvier dernier, le projet Ecocombust 2 a reçu la validation officielle du ministère de la Transition énergétique.

Ascenseur émotionnel

Depuis 7 ans, la CGT se bat aux côtés des travailleur·euses contre la fermeture de la centrale à charbon, et pour sa conversion en centrale fonctionnant avec un combustible fabriqué – sur site - avec des déchets de bois jusqu’à présent inutilisés.

Et depuis 7 ans, des décisions sont prises, puis abandonnées, provoquant alternativement espoir et dépit.

Malgré l’AMI (Appel à Manifestation d'Intérêt) lancé par Barbara Pompili, alors ministre de la Transition écologique, malgré le soutien des élus locaux et de la population, malgré Paprec et EDF, principaux acteurs du projet, celui-ci n’avançait pas. Il ne manquait que le feu vert de l’actionnaire majoritaire d’EDF, le gouvernement.

La lutte paie ! Il aura fallu le dépôt d’un préavis de grève début janvier pour que le cabinet de Macron fixe un rendez-vous le 17 janvier.

« Nous avons insisté sur notre sentiment d’être menés en bateau, et réclamé de la cohérence politique par un engagement franc du gouvernement » indique Fabien Deschamps, délégué syndical CGT.

La détermination des travailleur·euses a été entendue : le courrier annonçant que Paprec et EDF étaient « Lauréats de l’AMI », est arrivé du cabinet d’Agnès Pannier Runacher le vendredi 20 janvier en début d’après-midi.

Préservation des emplois… et de l’environnement Ce sésame permet de lancer officiellement le projet d’usine sur le site de Cordemais. Non seulement le maintien de la centrale ne supprimera pas d’emploi, mais Ecocombust 2 créera, à termes, entre 60 et 80 emplois pérennes grâce à la construction de l’usine de transformation juste à côté de la centrale.

L’utilisation de "black pellets", issu de déchets de bois, en neutralité carbone, permettra aussi de préserver l’environnement.

La mise en service industrielle est prévue au plus tard à la fin de l’année 2025. La centrale permettra de produire les mégawatts pour les prochains hivers, sans charbon dans le process, avec une utilisation 100 % pellets à l’horizon 2027. Sa puissance énergétique pilotable (2 fois 600 mégawatts) est équivalente à celle d’un gros réacteur nucléaire.

À terme, la centrale a vocation à aller vers la production d’autres énergies décarbonnées, qui ne seront pas matures avant au mieux 2035.

Cordemais : 5 avril 2022 sous le signe de l'offensive pour l'emploi !

logo CGT Cordemais



Le 5 avril, mobilisons-nous pour le maintien et la sauvegarde de l’emploi industriel autour de l’estuaire de la Loire, mais également pour le développement d’un modèle énergétique issu de l’économie circulaire ! D’après certains politiciens la centrale EDF de Cordemais serait en fermeture, pour éviter ce drame, les travailleurs du site organisés par la CGT défendent depuis 7 ans un projet appelé Ecocombust !

Ecocombust c’est quoi ? Pour remplacer le charbon, les salariés ont construit puis déposé des brevets pour fabriquer un combustible alternatif issu de bois d’ameublement collectés dans les déchetteries environnantes. Concrètement Ecocombust c’est l’implantation d’une usine de fabrication de pellets sur le site EDF de Cordemais. Cette production locale remplacera le charbon dans les chaudières. L’usine permettrait la création d’environ 80 emplois directs et pérenniserait ceux liés à l’activité industrielle de la centrale, mais aussi toutes ses activités indirectes sur le territoire.

Pourquoi le 5 avril ? Avec l’appui de la CGT, les agents de la centrale ont convaincu les industriels Paprec et Edf d’investir dans Ecocombust, et le ministère a lancé un appel à projet avec une date limite de dépôt des dossiers au 26 avril. Il est donc primordial de peser sur la validation du procédé de fabrication de pellets, par le rassemblement du 5 avril à partir de 10h. Il faut contraindre EDF à porter cette initiative créatrice d’emplois et qui répond aux besoins de la transition énergétique.

Quels enjeux ? au-delà des aspects d’emplois sur le bassin de l’estuaire de la Loire, la lutte menée pour convertir la centrale de Cordemais est également un axe de défense du service public de l’électricité. Avec Ecocombust, on peut fournir 1200MW au réseau électrique (équivalent de la consommation de Nantes Métropole) et ce, y compris quand on en a le plus besoin ! (Même le soir quand il fait froid et qu’il n’y a pas de vent ! Comme très souvent en hiver) ; Et tout cela sans que le combustible soit dépendant du commerce international ou encore de certains évènements géopolitiques ! Ça ne fera de mal à aucun usager de revenir à des factures un peu plus maitrisées.

Le service public de l’énergie a besoin de conquêtes industrielles gagnées par les salariés !

Ecocombust, c’est bon pour le climat, c’est bon pour les factures et c’est bon pour l’emploi ! Alors tous solidaires et mobilisés, avec les travailleurs et la CGT !

Ceux qui vivent sont ceux qui luttent !

RDV le 5 avril à partir de 10H Devant le site de la centrale EDF de Cordemais

le tract : tract Cordemais 5 avril

Des avancées à concrétiser pour Ecocombust

logo CGT Cordemai

Mercredi 16 février 2022 lors d’une audition à l’assemblée nationale, la ministre de la Transition écologique a annoncé un appel à manifestation d’intérêt (AMI) pour lancer une filière française de black pellets en vue de remplacer le charbon en incitant fortement les porteurs du projet Ecocombust à se manifester. Cet AMI sera inclus dans le plan de relance France 2030.

Plus de détails sur le blog de la CGT Cordemais : https://cgtedfcordemais.wordpress.com/

Assises régionales « Quel réseau de la DGFiP dans les PAYS de la LOIRE ?

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Assises régionales « Quel réseau de la DGFiP dans les PAYS de la LOIRE ? jeudi 3 mars 2022

Le jeudi 3 mars 2022, à 14 H 30 à Angers, salle du Doyenné

(1er étage-56 Bd du Doyenné 49 100 Angers, parking gratuit).

Les restructurations engagées par les pouvoirs publics concernant l’évolution du réseau territorial de la Direction générale des Finances publiques (DGFiP), qui ont suscité de vives réactions notamment d’élus locaux et parlementaires, sont partout mises en place, coûte que coûte.

Ce chantier est conçu pour permettre la suppression de plusieurs milliers d’emplois et s’inscrit dans la vision d’un service public dématérialisé au-delà du raisonnable, de la suppression de toutes les trésoreries de proximité, de la réduction à peau de chagrin des services des impôts des particuliers (SIP), des services des impôts des entreprises (SIE), des services de la publicité foncière (SPF) et d’autres services spécialisés.

Par une politique volontaire d’asséchement des services, la DGFiP veut dans un même temps, se débarrasser définitivement de la réception du public.

De plus, par un obscur jeu de bonneteau, certains services implantés dans des grandes villes sont ou seront transférés vers d’autres villes, sans que ces services n’exercent, pour autant, de compétences territoriales permettant d’accueillir le public de la nouvelle résidence.

Le gouvernement a axé la promotion de ce « nouveau réseau de proximité » (NRP) sur des « points de contacts » qu’il met en place au travers des Maisons « France service » (FS) et de formes d’accueil itinérants (en Loire Atlantique et en Sarthe).

Cette communication est trompeuse : elle mélange l’évolution du réseau propre de la DGFiP et celle de structures légères, généralistes, et à la pérennité très incertaine.

Notons qu’il n’y a aucune garantie sur l’investissement des 9 partenaires au sein d’un FS. Avec 45 000 suppressions d’emplois à la DGFiP depuis 2002 et une hémorragie qui continue, personne n’est dupe que, ce n’est pas la DGFiP qui pourra assurer la pérennité des FS, ni le financement de l’État, ni celui de la banque des territoires.

Les collectivités ou La Poste ne peuvent pas faire fonctionner ces « France Services » avec des emplois hautement qualifiés et spécialisés, notamment en fiscalité comme le sont les agents de la DGFiP ! Les agents en service civique ou du privé ne sont pas des fonctionnaires territoriaux ou d’État. Or, le statut des fonctionnaires est une protection pour la population (égalité de traitement, indépendance, neutralité, etc).

Financièrement, le reste à charge pour les collectivités locales sera donc soit intenable, soit creusera les inégalités entre les territoires.

En basculant la charge d’un maximum de services publics sur les collectivités locales tout en organisant la baisse de leurs recettes, l’État poursuit son désengagement.

C’est pourquoi, nous vous proposons d’échanger à l’occasion de ces assises régionales de la DGFiP, entre élu.es, organisations syndicales, associations, usagers et agents, afin de recenser les attentes et les besoins pour permettre d’élaborer notre projet de service public de la DGFiP au service de l’intérêt général.

Grève à l'Education Nationale le 26 janvier

cgt_educ_logo_44.jpg Une crise sanitaire qui maltraite une École malade

  • Vendée: 10h30, place Napoléon à la Roche/Yon. Tractage prévu devant INSPE les 19 et 21 vers midi.
  • Mans : 14h devant la DSDEN bd Paixhans.
  • Laval: 10h place Jean-Moulin (préfecture) manif suivie d’une AG des personnels.
  • Angers: 10h30 place imbach. Direction la DSDEN avec une demande d’audience auprès du DASEN.
  • Nantes - RDV à 10H00 sous les Nefs (Machines de l’Ile)
  • Saint Nazaire - 09H30 - base sous marine

tract-n_2-greve-26-MS__1_.pdf

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