Comité Régional CGT des Pays de la Loire

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

12 13 avril - journées de l'écosyndicalisme

journées écosydicalisme

Le collectif ecosyndicalisme de l’UD 44 organise, le samedi 13 avril 2024, maison des syndicats à Nantes, une grande journée consacrée à la question environnementale selon notre prisme CGT (lutte des classes, anticapitalisme, réappropriation des productions, sens du travail…). Au programme : débats, tables rondes, village des luttes, animations.

Le temps fort de cette initiative sera le débat entre Daniel TANURO, (militant écosocialiste et auteur) et Sébastien MENESPLIER (secrétaire confédéral CGT à l’environnement et la transformation de l’appareil productif, membre du bureau confédéral).

pétition : notre santé, ça nous regarde

cgt sante 2

JE SIGNE POUR EXIGER DE :

1. Former plus de médecins généralistes et spécialistes pour lutter contre la pénurie :

2. Résorber les déserts médicaux :

3. Renforcer et développer les hôpitaux de proximité

pour signer, c'est ici : https://chng.it/2trHytCzLw

Rassemblement à la centrale de Cordemais

Cordemais

Après un long combat syndical pour maintenir l’activité industrielle sur le site de Cordemais au travers du projet de reconversion de la centrale à charbon en biomasse (Ecocombust), nos camarades de la FNME-CGT 44 font face aujourd’hui à un blocage de la direction d’EDF.




Alors que tous les feux politiques et réglementaires étaient au vert pour faire aboutir le projet, c’est EDF qui fait volte-face pour des raisons financières.



Ne laissons pas détruire notre industrie, nos emplois, notre service public de l’énergie !

Portons ensemble ce projet économique, social et environnemental !



Le comité régional appelle les militant.es à participer nombreux.ses au rassemblement organisé par nos camarades pour mettre la pression sur EDF :



Mercredi 17 avril, à 10 heures, devant la centrale de Cordemais.



Rassemblement en présence de notre Secrétaire Générale, Sophie Binet, et de nombreux responsables syndicaux et politiques.

voir les tracts : Cordemais 17 avril - 1 Cordemais 17 avril - 2

session du CESER du 26 mars 2024

conseil régional 4

La session de mars 2024, a donné lieu à l’examen des sujets suivants :

- l’avis sur le bilan d’exécution du CPER 2021 2027 au 31/12/2022 : voir la lettre 266 - bilan CPER

- l’avis sur le rapport régional pour la ruralité : voir la lettre 267 - rapport ruralité

- la contribution à la consultation « la mer en débat » : voir la lettre 268 - la mer en débat

L'essentiel de la session en 2 pages dans l'express 014 du CESER - session du 26/03/2024

liste des défenseurs syndicaux

dessin prudhommes

Un salarié ou un employeur engagé d'une procédure prud'homale peut se faire assister par un défenseur syndical.

Voici la liste des défenseurs syndicaux et des défenseuses syndicales intervenant en matière prudhommale : arrêté liste des défenseurs syndicaux

consultation CNDP la mer en débat - la contribution de la CGT

cahier d'acteurs CNDP

La Commission nationale du débat public (CNDP) organise un débat public d’ampleur sur la planification maritime : sur l’avenir de la mer, du littoral, de la biodiversité marine et de l’éolien en mer. Ce débat national est décliné sur le territoire des 4 façades maritimes de la France métropolitaine et se déroule du 20 novembre 2023 au 26 avril 2024. Au cours du débat, les acteurs institutionnels peuvent détailler leur point de vue sur les enjeux du débat dans un cahier d’acteur. La CGT apporte son point de vue dans le cahier d'acteurs des comités régionaux CGT Bretagne et Pays de la Loire.

La CGT intervient sur les questions maritimes par l’intermédiaire de ses syndicats des entreprises liées à la mer et au littoral, ses fédérations et structures territoriales interprofessionnelles.

Elle participe aux différentes instances de concertation mises en place après le Grenelle de la mer : Conseil National de la mer et des littoraux (CNML), Conseils Maritimes des 4 façades de l’Hexagone (CMF). Au niveau régional elle contribue aux travaux des CESER et des « parlements de la mer » que sont en Bretagne la conférence Régionale de la Mer et du Littoral (CRML) reconnue par décret en 2012 et dans les Pays de la Loire, l’Assemblée Régionale de la mer et du littoral (ARML).

Elle y porte notamment :

- la nécessité d’un Développement Humain Durable, condition d’une véritable transformation sociale ;

- l’accès à tous à l’énergie pour abolir la précarité énergétique ;

- la mise en place d’une véritable Politique maritime intégrée ;

- le besoin d’un autre type de développement économique favorisant le progrès et la justice sociale etrespectueux de l’environnement et de la biodiversité ;

- une autre façon de produire les richesses, de les répartir et d’organiser le travail ;

- une amélioration de la santé, des conditions de travail et des salaires ;

- les besoins en emplois, en formation initiale et professionnelle ;

- une formation maritime renforcée ; le développement de la recherche, des établissements et services publics ;

- l’équité sociale, l’égalité professionnelle et la solidarité ;

- la non privatisation de la mer bien commun de l’humanité ;

- le maintien et la cohabitation des activités ;

- la sécurité en mer et la souveraineté ;

- la réaffirmation du rôle de l’État, des collectivités territoriales et des services publics ;

- le renforcement d’une gouvernance locale et régionale ;

- l’amélioration de la Gestion Intégrée des Zones Côtières vers la Gestion Intégrée de Ia mer et du littoral;

- le développement d’un mix énergétique bas carbone incluant les ENR si possible pilotable, l’intermittence étant compensée par des solutions de stockage durable ;

- un déploiement réfléchi et planifié de l’éolien en mer avec de fortes retombées économiques locales et les emplois de qualité associés ;

- le placement de l’ensemble de ces outils industriels sous maîtrise et gestion publique ;

- une pêche et une aquaculture durables, la décarbonation de la flotte de pêche, le développement d’une filière vélique ; l’appropriation des débats par les salariés et la population.

CESER - session du 30 janvier 2023 - session d'installation

conseil régional 4

Les CESER sont renouvelés tous les 6 ans, à mi-parcours du mandat du conseil régional. Une nouvelle mandature a donc débuté début 2024.

La session du 30 janvier était consacrée à l’élection de la présidence du CESER.

La candidate de la FNSEA, soutenue par le MEDEF et l’U2P, l’emporte d’une voix contre le candidat issu du comité 21, que la CGT avait soutenu, avec de nombreuses autres organisations, dont la CFDT.

Ceci avec le soutien notamment de FO, qui décidément a choisi son camp, celui du patronat. 

La CFTC et la CGC n’ont pas souhaité communiquer leur vote.

Suite à cette élection, nous avons à nouveau une présidence du CESER issue du collège patronal.

Alors que la pratique du CESER est celle du partage des responsabilités, la majorité du collège 1 a tenté à plusieurs reprises de truster des responsabilités, soit en candidatant directement, soit en poussant des candidatures en sous-main.

La CGT conserve cependant le poste de président de la commission transport-énergie, ainsi que le secrétariat de la commission Environnement -territoires.

voir la lettre 264 relative à la session d'installation

voir la lettre 265 sur la composition du groupe CGT au CESER

bulletin du comité régional n°101 - spécial formation 2024

une formation

Nous concevons à la CGT que l’ensemble des syndiquées et syndiqués sont des actrices et acteurs de leur syndicat.

Pour acquérir les savoirs et savoir-faire permettant de jouer pleinement leur rôle, trois vecteurs doivent se conjuguer : la pratique (c’est en forgeant qu’on devient forgeron), la lecture de la presse syndicale (un homme, une femme informé.e en vaut deux)… et la formation syndicale.

La formation syndicale est un droit pour tous les syndiqués et syndiquées, les militants et militantes, les dirigeants et dirigeantes.

Chaque camarade pourra être très rapidement élu.e, mandaté.e, ou exercer une responsabilité particulière dans l’organisation, le devoir de l’organisation est donc de le/la former.

Vous trouverez ici le bulletin n°101 spécial formation syndicale.

Urgence pour les trains en Loire-Atlantique : exigeons un service de qualité, tous les 1/4h au + tôt

logo trains

signez la pétition ici

L'offre de transport actuelle est insuffisante pour assurer correctement le service et accueillir de nouveaux usagers et usagères souhaitant limiter l'utilisation de leur voiture. Chaque matin, des milliers d'habitantes et habitants du département font face à un réseau de transport surchargé et insuffisant. Des trains supprimés, des cars bondés, une attente interminable aux heures de pointe... sont le quotidien de trop d’habitants. État, Région, Métropole et Collectivités ont le pouvoir d'accompagner les habitant.es et de satisfaire leurs attentes et besoins. Pour une meilleure qualité de vie des habitantes et habitants, améliorons l'offre de transport pour tous les trajets : domicile/travail, études, loisirs... Pourquoi faut-il agir maintenant ?

Face à la crise sociale (flambée des prix) et climatique (nécessité de diminuer notre empreinte carbone), nous, habitantes et habitants de Nantes Métropole et des communes environnantes demandons une amélioration urgente du service, de l'attractivité et l'accessibilité du réseau des trains de proximité : fréquence/régularité, nouvelles dessertes, fiabilité/sécurité, élargissement des horaires, maillage avec le réseau Aléop.

Notre réseau actuel est inadapté aux besoins des habitantes et habitants du territoire qui veulent se déplacer en polluant moins, en dépensant moins, en participant et en bénéficiant d'un cadre de vie plus sain et sûr :

❌ Qualité de services dégradée (trains supprimés, surchargés, en retard, manque d'emplacements vélos,...).

❌ Manque d'ambition (fréquence, plages horaires).

❌ Infrastructures insuffisantes ou dégradées : entretien reporté, réseau saturé, fermetures de gares, de haltes et de guichets.

❌ Manque de matériel roulant et de personnel.

❌ Les propositions de création de nouvelles haltes ou gares, pôles multimodaux et les interconnexions avec les transports en commun existants s'avèrent notoirement insuffisantes.

❌ Le projet de Service Express Métropolitain actuellement présenté est insuffisant et manque d'ambitions.

Nous demandons aux différentes autorités organisatrices des transports de s'engager immédiatement pour les mesures suivantes :

✅ Des trains toutes les 15 min en heures de pointe dans l'aire urbaine et 30 min en heures creuses avec un service de 5h à 00h tous les jours. Avec une population grandissante, des trains toutes les 15 minutes permettraient de désengorger significativement les axes routiers et d’offrir une alternative viable à la voiture.

✅ Accès à des transports collectifs de haute fréquence à moins de 5kms pour les communes hors zones urbaines.

✅ Création de nouvelles liaisons Nord/Sud et Est/Ouest avec la diamétralisation du réseau en étoile (c'est à dire sans changement de train en gare de Nantes)

et la création de nouvelles gares multimodales comme à Sainte-Luce, Carquefou..

✅ Création de nouvelles haltes et gares, notamment sur l'île de Nantes, en plus de la gare prévue à Bouguenais.

✅ Étendre les services de vélos partagés, d'autopartage et les plateformes de covoiturage.

✅ Financement du matériel nécessaire et recrutement du personnel.

✅ Extension de la tarification unique et adaptée aux besoins.

Agissons ensemble pour mettre notre avenir sur de bons rails !

Cette pétition est à l'initiative du collectif FerNantes composé de : Alternatiba Nantes, ANDE, Attac44, AVEC Nantes, CGT Cheminots Nantes, UL CGT Nantes, UD CGT 44, Collectif Transport, Convergence Nationale Rail, FNAUT Pays de la Loire, FSU44, La France Insoumise 44, EELV Nantes, Extinction Rébellion Nantes, Gauche démocratique et sociale, Génération Écologie 44, GIGNV, Collectif « Le livre blanc pour le climat », MNLE Pays de la Loire Naturellement, Nantes en commun, PCF 44, Rezé à Gauche Toute, Rue de l’Avenir Grand Ouest, Sud Loire Avenir, UDB, 60 millions de piétons, Collectif Fer-Retz.

La centrale de Cordemais bloquée par la CGT, inquiète pour la reconversion

image mobilisation Cordemais

La centrale à charbon de Cordemais (Loire-Atlantique), actuellement à l'arrêt, était bloquée vendredi matin par la CGT, inquiète pour le devenir du projet de conversion de la centrale à la biomasse, a constaté une journaliste de l'AFP.

La CGT dénonce une position d'EDF "ambigüe sur le projet" de conversion.

"La publication de certains éléments (...) nous laisse à penser que l'entreprise détenue à 100% par l’État n'optimise pas, voire alourdit volontairement l'équation économique pour rendre le projet caduc", écrivait le 25 janvier la secrétaire générale de la CGT Sophie Binet dans une lettre adressée à Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et, depuis le dernier remaniement, de l’Énergie.

Vos représentants CGT de Cordemais vont rencontrer le délégué interministériel à l'accompagnement des territoires en transition énergétique M. Yves SCHENFEIGEL le 12 Février, le directeur d'EDF Luc Rémont le 19 février et Le ministre Bruno le Maire le 7 mars.

voir le courrier de Sophie Binet à Bruno Lemaire : 2024.02 courrier S Binet à B Lemaire

- page 1 de 38