Comité Régional CGT des Pays de la Loire

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L'actualité en Pays de la Loire

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Voeux 2024

voeux CGT 2024

projet de loi Asile et Immigration

tableau intersyndical

Ce Mardi 19 décembre 2023, nos organisations appellent les parlementaires à ne pas adopter le projet de loi Asile et Immigration. Les personnes étrangères méritent mieux que des manœuvres et marchandages politiciens sur un texte qui bafoue les droits fondamentaux.

Pour tenter de trouver un consensus sur son projet de loi asile et immigration, le gouvernement français, attaché aux symboles, a choisi de réunir la Commission mixte paritaire le lundi 18 décembre, date de la Journée internationale des personnes migrantes. Le texte issu de celle-ci remet en cause bien des droits des personnes étrangères. Le gouvernement et les parlementaires qui le soutiennent se sont plié aux sommations des dirigeants du groupe LR pour laisser triompher des mesures profondément discriminatoires.

L'examen de ce texte a peu à peu fait sauter des digues, laissant le champ libre à une xénophobie aujourd'hui complètement décomplexée.

Il n'est ni plus ni moins désormais que le projet de loi le plus régressif depuis au moins 40 ans pour les droits et conditions de vie des personnes étrangères, y compris celles présentes depuis longtemps en France : enfermement et expulsions de personnes protégées au titre de la vie privée et familiale, refus ou retrait du droit au séjour au motif de menaces à l'ordre public, rétablissement du délit de séjour irrégulier, atteintes au droit à la santé et à la vie familiale, restriction de l'accès aux titres de séjour pour étudiant·es et personnes malades, mise en place et renforcement de tous les freins à l'intégration, etc. Faute de titre de séjour, la vie d'un nombre croissant de personnes étrangères en France, extrêmement précarisée, sera rendue infernale.

Les principes d'égalité, de solidarité et d'humanité, qui fondent notre République, semblent ne plus être aujourd'hui une boussole légitime de l'action gouvernementale. Face à ce marasme politique, nos associations, collectifs et syndicats appellent les parlementaires attaché·es à ces principes à un sursaut, en rejetant ce texte aussi inhumain que dangereux pour notre État de droit.

Organisations signataires : Action contre la faim, Anafé, ANVITA, CCFD-Terre Solidaire, Centre Primo Levi, Cimade, CGT, Collectif des Sans-Papiers de Montreuil (CSPM), Collectif des Travailleurs Sans-Papiers de Vitry 94 (CTSPV 94), Coordination 75 des Sans-Papiers (CSP 75), CRID, Dom’Asile, Droit à l’école, Emmaüs France, Emmaüs International, Emmaüs Roya, Fédération de l’Entraide Protestante, Fédération Etorkinekin Diakité, Femmes de la Terre, Fondation Abbé Pierre, Français langue d’accueil, Les Francas, France terre d’asile, Geres, Gisti, Grdr Migration-Citoyenneté-Développement, Groupe accueil et solidarité (GAS), J’accueille by SINGA, JRS France, Kabubu, Ligue des droits de l’Homme (LDH), Ligue de l’enseignement, MADERA, MRAP (Mouvement contre le Racisme et pour l'Amitié entre les Peuples), Observatoire international des prisons - section française (OIP-SF), Oxfam France, Pantin Solidaire, Paris d’Exil, Pas Sans Nous, Polaris 14, Sidaction, SINGA, Solidarités Asie France (SAF), Thot, Tous Migrants, UEE (Union des Etudiants Exilés), Union syndicale Solidaire, UniR (Universités & Réfugié.e.s), Utopia 56, Watizat.

violences policières Angers

logo UD49

Suite aux incidents dans la manifestation du 13 octobre 2023, gazage dans le cortège à Angers faisant deux blessés parmi les manifestants, l’intersyndicale a décidé d’envoyer un communiqué au préfet ainsi qu’à la presse, dénonçant ces pratiques scandaleuses qui sont ni plus ni moins qu’une atteinte à la liberté de manifester. (courrier en annexe)

Une demande de rencontre avec le préfet a été faite dans le même temps restant sans réponse pour l’instant.

Le 22 octobre, rassemblons nous nombreux dans la carrière de Châteaubriant

affiche Châteaubriant

Alors que les atteintes à la démocratie se multiplient, que les conquis de la Résistance - et dernièrement les retraites - sont systématiquement remis en cause, alors que le fond de l’air est brun et que les bruits de botte se font entendre encore aux portes de l’Europe et ailleurs dans le monde, les rassemblements organisés à l’occasion du 82e anniversaire de l’Octobre sanglant de 1941 ne constitueront pas seulement un hommage aux fusillés, mais aussi une réponse à cette dérive et une manifestation de notre conviction que " résister se conjugue au présent."

pièce jointe : bulletin "un automne 1941" du Comité du Souvenir des fusillés de Châteaubriant et Nantes et de la Résistance en Loire-Inférieure

mobilisé·es contre l’austérité, pour les salaires et l’égalité femmes-hommes le 13 octobre

2023.10.13 visuel

Les organisations syndicales appellent toutes et tous à rejoindre les manifestations du 13 octobre. Au cours des derniers mois, les travailleuses et les travailleurs sont descendus dans la rue partout en Europe. En France, l’intersyndicale a conduit un mouvement social historique pour s’opposer à la réforme des retraites qu’elle continue de dénoncer. La journée du 13 octobre représente une première mobilisation dans un cadre syndical européen. La ma- nifestation à Paris accueillera des délégations de nombreux pays.

Le mouvement syndical européen est appelé à se mobiliser pour plus de solidarité, pour l’emploi et pour une économie qui donne des résultats concrets aux travailleuses et travailleurs, pour des salaires plus élevés et des emplois de qualité, pour une plus grande protection sociale, pour une transition environnementale socialement juste, pour des investissements pour des services publics de qualité qui garantissent les droits des citoyennes et citoyens.

Les organisations syndi cales françaises s’opposent à toute décision européenne qui conduit à des politiques d’austérité. En France, de nombreuses négociations sont en cours, il faut donc se mobiliser pour qu’elles aboutissent à une amélioration des droits des travailleuses et travailleurs. A quelques jours de la Conférence sociale, les organisations syndicales et de jeunesse sont unanimes sur la nécessaire égalité femmes-hommes, sur l’augmentation des salaires, du SMIC, des pensions, des minima sociaux et bourses d’études, mais aussi sur la conditionnalité des aides publiques aux entreprises.

L’intersyndicale rappelle que les exonérations et allègements de cotisations sociales accor- dés aux employeurs fragilisent notre système collectif de protection sociale.

De même, les organisations syndicales qui participent aux négociations sur les retraites complémentaires Agirc Arrco et l’Assurance chômage y porteront leurs revendications et y pèseront de tout leur poids pour améliorer les droits des retraité.es et des chômeuses et chômeurs. Les politiques d’austérité sapent aussi les services publics, particulièrement l’Hôpital ou l’Education nationale. Les services publics sont une richesse pour toutes et tous.

Les organisations syndicales rappellent leur attachement aux valeurs républicaines, aux libertés démocratiques, individuelles et collectives en particulier le droit de grève et de manifester.

L'intersyndicale rappelle son refus de toute régression sociale et appelle, le 13 octobre, à se mobiliser par des rassemblements, des manifestations, des actions, y compris par la grève et des débrayages, pour plus de justice sociale.

Pour plus de justice sociale, toutes et tous mobilisé·es le 13 octobre !

tract intersyndical

Idée reçue : la CGT ne signe jamais d’accords

dimanche 24 septembre 2023

poing Si la CGT refuse d’apposer sa signature aux accords considérés comme régressifs pour les travailleurs, sur le terrain elle n’hésite pas à valider 84% des accords d’entreprise. Un chiffre stable depuis de nombreuses années.

Contestataire ? Qui claque la porte ? A rebours de l’image souvent véhiculée de la CGT, la centrale signe en réalité de nombreux accords sur le terrain. D’après le dernier bilan sur la négociation collective, en 2021, la CGT a approuvé 83,7 % des accords en entreprise, contre 90,1 % pour FO et 93 % pour la CFDT. « A partir du moment où les propositions vont dans l’intérêt des travailleurs, on signe, confirme Nathalie Bazire, négociatrice de l’accord sur le 1% logement cosigné par la CGT. On valide beaucoup plus d’accords que certains ne le pensent dans les entreprises. Souvent on dénonce, mais on ne communique pas suffisamment quand on signe. On apparait comme le syndicat qui est contre tout. »

En région Bretagne, en 2022, la CGT a même approuvé 100% des accords portés dans les entreprises de moins de 50 salariés. « La CGT qui claque la porte, qui fait grève avant de négocier, c’est un lieu commun. Ce n’est pas ce qu’on observe sur le terrain », constate Jérôme Pelisse, chercheur au centre de sociologie des organisations (CSO). La lutte menée au printemps par la CGT aux côtés des travailleurs de Vertbaudet est très emblématique de la ligne CGT. Non signataire de l’accord sur les NAO qui n’octroyait que des primes, la CGT a obtenu après plus de deux mois de grève la signature d’un important accord salarial, avec 90 à 150 euros net d’augmentations. « Signer un accord dans lequel il n’y a rien, ça n’a aucun intérêt. Ce qui s’est passé à Vertbaudet est exemplaire, » se félicite Amar Lagha, secrétaire général de la CGT Fédération commerce et services.

Pied dans la porte

L’an dernier, cette fédération a mis un gros coup de pression sur les négociations de la branche Prévention Sécurité. « Le Medef proposait 3,2% d’augmentation, et des organisations étaient prêtes à signer. En faisant valoir notre droit d’opposition, on a obtenu 7,5%. Soit quatre points en plus », rappelle le dirigeant syndical. Si la CGT n’a pas signé l’accord, insuffisant face à l’inflation, elle a fait progresser la discussion. « Ce n’est pas parce que le syndicat ne signe pas qu’il n’est pas acteur et ne fait pas bouger les lignes. Ce que la CGT porte peut être repris par d’autres à l’issue des négociations, » observe Jérôme Pelisse.

Mais au niveau national, l’organisation se heurte à des négociations plus difficiles à faire aboutir. « Dans les branches, le patronat est uni, et on a plus de mal à s’entendre avec les autres syndicats », relève Amar Lagha. Si la CGT a refusé de signer en février l’Accord National Interprofessionnel (ANI) portant sur le partage de la valeur, jugé régressif, elle a sorti le stylo en mai pour parapher celui sur les accidents de travail et les maladies de professionnelles. « La CGT ne signe jamais de régressions sociales, précise Jérôme Vivenza, négociateur pour la centrale de l’accord national. Et un accord, ce n’est pas un traité de paix. Cela ouvre des chantiers avec des zones de conflits qui vont pouvoir être abordés avec le patronat ».

La fameuse technique du pied dans la porte.

Article paru dans La Vie Ouvrière -Ensemble septembre 2023

Le 16 mai 2023, les partenaires sociaux ont signé un accord de branche AT/MP sur les accidents du travail et les maladies professionnelles qui abaisse à 20 % le taux d’incapacité autorisant l’accès à la reconnaissance des pathologies professionnelles hors tableau figé depuis vingt ans. Le texte va permettre le recrutement de 20% d’ingénieurs conseils en plus dans les Carsat, les interlocuteurs des salariés du régime général de la Sécurité sociale. La CGT, signataire, estime que l’accord « consolide la gouvernance paritaire du système d’indemnisation. »

Hellfest 2023, l’Union Locale CGT Clisson s’adresse aux festivaliers

Hellfest

vendredi 16 juin 2023

Chères festivalières, chers festivaliers, La Culture Oui mais à quel prix, INTERROGEONS-NOUS !!!!!!!

Chanter, Rire, Boire, ne rien Renier, ne rien Détruire,

Faire la Fête au Hellfest ou ailleurs ! Mais s’interroger ! Interrogeons-nous, oui, interrogeons-nous, sur la nécessité d’une vraie démocratie culturelle, sur une culture qui n’est pas réservée à l’élite, sur une culture à la disposition de tous et accessible à tous sans condition.

Une culture sans la dictature de l’industrie de l’audiovisuelle, sans un dictat du capitalisme, une culture ouverte à tous, aux salariés, aux retraités, aux privés d’emploi, aux oubliés des salles de spectacle.

Une culture qui reconnaisse les droits sociaux des artistes et de l’ensemble des travailleurs du spectacle.

Même si chaque année nous sommes particulièrement heureux de retrouver encore et enfin le Hellfest, nous ne pouvons cependant nous dédouaner de nous emparer des questions sociales et environnementales.

Chantons, Rions, Buvons, Faisons la Fête au Hellfest, mais interrogeons-nous, interrogeons-nous, lorsqu’en 2022 plusieurs centaines de milliers de festivaliers peuvent rejeter dans l’atmosphère jusqu’à 90 kg de CO2/participant : autant que le passager d’un avion en une heure.

Chantons, Rions, Buvons, Faisons la Fête au Hellfest, mais interrogeons-nous, interrogeons-nous sur la nécessité pour faire tourner cette « grosse machine », de la consommation de 250 000 litres de fioul.

Chantons, Rions, Buvons, Faisons la Fête au Hellfest, mais interrogeons-nous, interrogeons-nous quand en pleine chaleur caniculaire, il convient de l’utilisation de brumisateurs géants, de lances à eau, et du remplissage en eaux potables (sans récupération de celles-ci) de bornes le long des routes afin de réguler le parking et la circulation des véhicules.

Chantons, Rions, Buvons, Faisons la Fête au Hellfest, mais interrogeons-nous, interrogeons-nous sur l’utilisation de ce parking de 37 hectares de terre agricole qui, même s’il ne devrait pas être bétonné, ne sert que 8 jours/an, alors que le dernier rapport du GIEC est alarmiste quant à la bétonisation à outrance et à l’appauvrissement et la diminution des terres agricoles !

Chantons, Rions, Buvons, Faisons la Fête au Hellfest, mais interrogeons-nous, interrogeons-nous sur ces 360 tonnes de déchets que laisse le festival et notre capacité ou pas d’absorber ce recyclage.

Chantons, Rions, Buvons, Faisons la Fête au Hellfest, mais interrogeons-nous, interrogeons-nous enfin sur l’utilisation de nos 3000 bénévoles sans lesquels rien ne serait possible.

Bien sûr, ces heures de bénévolat sont assujetties à l’obtention du « pass » pour assister au festival. Mais à quel prix ? Parfois de sueur et de labeur !

Où se situe la ligne rouge du bénévolat et du salariat … ?

« En termes de droit, le code du travail précise en France que s’il y a un quelconque lien de subordination, alors ce n’est pas du bénévolat mais bien du salariat. »

Ces missions : service aux bars ou en restauration, gestion de la circulation aux abords des parkings, distribution des sacs poubelles et leur ramassage, nettoyages en tout genre, accueil et points d’accueil des festivaliers, pose et contrôle des bracelets, responsabilité de la direction et du management des équipes … Est-ce à la hauteur des enjeux ? Humains et sociaux ?

La CGT dans le cadre d’une réflexion globale sur les enjeux de notre société affirme qu’il faut collectivement penser à un « Développement Humain Durable » et qu’il nous faut collectivement nous emparer de ces questions !

Interrogeons-nous !

BON FESTIVAL

tous et toutes mobilisé.e.s le 6 juin!

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La CGT avec les autres organisations syndicales de salarié·es, appelle l’ensemble du monde du travail à faire du 6 juin une journée puissante de grèves et de manifestations portant l’exigence du retrait de la réforme des retraites.

Un 1er Mai unitaire et populaire pour le retrait !

borne retraite

Communiqué intersyndical

Les propos, ce soir, tenus par le président de la République démontrent qu’il n’a toujours pas compris la colère qui s’exprime dans le pays et s’obstine. Il doit respecter la démocratie sociale et le rejet très majoritaire de cette réforme par la population.

En s'entêtant, l’exécutif ne prend pas conscience de la responsabilité qu’il porte en s’enfermant dans le déni et il est le seul responsable d’une situation explosive sur l’ensemble du pays.

Depuis 3 mois, le rejet de la réforme des retraites est toujours aussi massif. Après avoir promulgué la loi dès vendredi, le Président de la République confirme dans son allocution, son mépris à la fois envers les organisations syndicales et envers les jeunes et l’ensemble de la population. L’intersyndicale confirme qu’elle ne participera pas aux réunions avec l’exécutif, ni à celle de demain avec le Président de la République.

Durant 12 journées de manifestations puissantes, de grèves, d'actions et d'initiatives locales, dans les entreprises, dans les services publics et sur les lieux d’étude, l'intersyndicale a mobilisé des millions de travailleurs, travailleuses, de jeunes et retraité.es.

L’intersyndicale appelle à faire du 1er mai une journée de mobilisation massive, unitaire et populaire contre la réforme des retraites partout sur le territoire, dans le calme et la détermination. Elle invite tous les travailleurs et travailleuses, jeunes, retraité.es comme l’ensemble de la population à s’y rendre massivement, entre collègues de travail, amis, en famille pour obtenir l’abrogation de cette réforme injustifiée, brutale et injuste.

Les secrétaires généraux et présidents et co-délégué-ées des organisations syndicales et de jeunesse participeront à la manifestation à Paris en présence de représentants syndicaux internationaux en soutien à notre lutte.

Uni-es, ensemble, déterminé-es pour la justice sociale.

Paris, le 17 avril 2023

Attaque policière contre la CGT à Nantes

syndicaliste pas voyou

Le 13 avril 2023, à l’issue de la manifestation nantaise, les CRS, la gendarmerie et la BAC réunies ont délibérément et violemment attaqué la CGT, ses militant.es réuni.es autour des derniers camions syndicaux place de la petite hollande.

La question politique qui se pose c’est à quel niveau l’ordre a été donné. Par ce communiqué la CGT 44 interpelle l’autorité préfectorale pour lui réclamer des comptes.

Monsieur le préfet, quels sont vos arguments ? Il va sans dire que lorsque l’on touche à un.e militante de la CGT, c’est toute la CGT qui est touchée. Il va sans dire que les blessé.es vont porter plainte Il va sans dire que nous informerons la population nantaise des pratiques policières du maintien de l’ordre.

Attouchement sexuel d’étudiantes nantaises, violences policières à Saint- Nazaire, comme dans de trop nombreuse ville de France, déluge de grenades à Sainte Soline, puis ce 13 avril à Nantes, des caps sont franchis de façon constante et progressive, sans parler des assignations, réquisitions, déblocages de piquets de grève agressifs comme à Donges....

La police agresse la CGT parce qu’elle est la CGT, c’est-à-dire une organisation contre-pouvoir du capitalisme et ouvertement antifasciste.

Un an après le second tour de l’élection présidentielle de 2022 la France a pris la voie d’un régime illibéral autoritaire.

Après les attaques délibérées de l’État contre la jeunesse, contre la LDH, contre la CGT, c’est l’escalade qui permet de poser la question : « L’État français, non content d’être en dehors du cadre démocratique, prend-il le chemin du fascisme ? »

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