Comité Régional CGT des Pays de la Loire

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Pour relocaliser l'industrie et répondre aux besoins sociaux et environnementaux

cgt conf logoLa crise sanitaire liée au Covid-19 a mis en évidence certaines réalités dont nous devrions tirer des leçons sur notre conception de la vie au quotidien et de la société. En période de confinement, ce n’est pas la bourse qui a fait tourner l’économie mais bien les travailleurs et travailleuses. VOUS, « Ces gens qui ne sont rien », comme ils disent ! VOUS, qui avez risqué votre santé et parfois votre vie pour répondre aux besoins de la population dans des secteurs essentiels (commerce, nettoyage, voirie, transport, énergie, éducation, santé et action sociale, agro-alimentaire…).

La situation révèle aussi une crise de civilisation profonde. Les méfaits désastreux de décennies de libéralisme ont fragilisé nos services publics et notre industrie, et par conséquent notre capacité d’action face à la crise sanitaire.

200608_TRACT_Industrie.pdf

Conférence sociale Régionale : La CGT refuse un simulacre de dialogue social

logo cgt pdl 2017Alors que le comité régional CGT des Pays de la Loire a demandé, sans attendre, dès le 19 mars, au Préfet de région la mise en place d’une cellule de crise sur les conséquences du confinement liées au COVID 19, notre demande est restée lettre morte.

En avril, nous avons de nouveau adressé au Préfet de région une note préparatoire pour l’organisation d’une conférence sociale permettant de discuter des enjeux de court, moyen et long terme, dans une démarche constructive visant à tirer les leçons de la crise sanitaire et de ce qu’elle a fait émergée.

Le comité régional CGT des Pays de la Loire a participé à la réunion d’installation de la conférence sociale du 13 mai dans l’objectif de travailler à une feuille de route partagée et non prédéfinie. Il a fait part de ses attentes :

  • faire de la conférence sociale un espace de travail de constats et d’analyses des réalités sociales et économiques ;
  • d’identifications des défis sociaux, environnementaux et économiques ;
  • une priorisation d’actions avec une nécessaire réorientation des politiques publiques.

Le comité régional CGT a proposé la mise en place de 4 groupes de travail sur la base des préconisations de l’Organisation Internationale du Travail :

  • stimuler l’économie et l’emploi ;
  • soutenir les entreprises, les emplois et les revenus ;
  • protéger les salarié-es sur leur lieu de travail ;
  • s’appuyer sur le dialogue social pour trouver des solutions.

Aucune de nos propositions n’a retenu l’attention des participants. Et pour cause, le Préfet de région et la Présidente du Conseil régional ont préféré s’appuyer sur la plate-forme proposée par 8 organisations patronales et syndicales. Ils estiment que c’est celle-ci qui doit servir de fil conducteur à la conférence sociale. La CGT a refusé de participer à ce groupe de travail, dont l’objectif était d’entériner une pseudo union sacrée organisations syndicales/organisations patronales.

Si le comité régional partage les 3 priorités affichées par la conférence sociale (accompagner les plans de reprise et organiser le travail dans les conditions de sécurité, impacts sur l'emploi, conséquences sociales de la crise), il considère que des instances régionales comme le Comité Régional d’Orientation des Conditions de Travail, le Comité Régional de l’Emploi de la Formation et l’Orientation Professionnelle ou autres sont les lieux pertinents pour les travailler. Cela vaut aussi pour les 15 groupes de travail mis en place dans le cadre de la stratégie de luttes contre le plan pauvreté.

La CGT est très interrogative sur les finalités de cette conférence sociale, où ne seront évoquées, ni les circonstances de la crise sanitaire et économique, ni les responsabilités des politiques mises en œuvres tout au long de ces dernières années, ni les propositions alternatives que nous portons (32H00, sécurité sociale professionnelle, contrôle des aides publiques aux entreprises, développement industriel et des services publics, réforme de la fiscalité, enjeux environnementaux, démocratie sociale…).

En conséquence, la CGT refuse ce simulacre de dialogue social, elle ne participera donc plus aux travaux futurs de la conférence sociale.

Cependant, la CGT continuera à intervenir et à porter ses revendications des salarié-e-s et retraité-e-s et privé-e-s d’emploi dans toutes les instances et les espaces régionaux du dialogue social, en créant les conditions de leurs interventions.

La CGT ne veut pas servir de caution à cette conférence sociale en accréditant l’idée que leurs décisions ou axes de travail répondent aux problématiques posées par cette situation sanitaire inédite, mais lourde de conséquences à la fois sociétale, sociale, environnementale et économique. Ces bouleversements incitent la CGT à réfléchir sur ce que peut être le monde d’après.

Sur toutes ces questions, la CGT y répond avec 18 associations et syndicats avec la pétition nationale « Plus jamais ça, construisons en..., en plus de sa plateforme revendicative pour qu’aujourd’hui et demain ne ressemblent en rien à hier !

Vers la semaine de 32h

cgt conf logoPlusieurs ordonnances ont été adoptées dans le cadre de l’État d’urgence sanitaire.

L’une d’elles permet de travailler jusqu’à 60 heures par semaine. Dans le même temps, le Medef demande à augmenter le temps de travail pour favoriser la reprise économique. Notre organisation revendique une baisse du temps de travail avec la semaine à 32 heures

Abandon des RTT ou des congés payés, passage à 37 heures… Avec le déconfinement, la vieille rengaine patronale de l’augmentation du temps de travail se fait entendre sur les plateaux télé. Le Medef, main dans la main avec le gouvernement, demande à augmenter le temps de travail pour favoriser la reprise.

Pour notre organisation, cette solution est la pire chose à faire. « Il y a une grosse inquiétude sur l’emploi. Des plans de licenciement sont déjà en train de se structurer. C’est donc incohérent d’allonger le temps de travail. Il faut une meilleure répartition du temps de travail », note Nathalie Verdeil, secrétaire confédérale.

Dans l’Aveyron, la direction départementale de la Poste a remis en cause d’accords locaux portant sur les 35 heures, sans dialogue social. « Elle profite de la pandémie, pour demander à l’ensemble des facteurs de changer leur durée de travail journalière, leurs repos, accepter polyvalence et flexibilité. Par la polyvalence et la flexibilité, elle supprime ainsi des dizaine d’emplois CDD et intérim et par la même des emplois pérennes », constate Laurence Cahors, secrétaire départementale CGT-FAPT.

Dans un contexte de chômage de masse, favoriser les heures supplémentaires est une absurdité. Déjà en 2018, notre organisation démontrait que les heures supplémentaires représentaient au moins 542 000 emplois à temps plein.

Augmenter le temps de travail signifie relancer l’économie uniquement dans l’intérêt du patronat. Nous défendons la stratégie inverse. « Dans la période, il y a un écho favorable pour aller vers le bien-être au travail », analyse Nathalie Verdeil.

Pendant le confinement, Airbus a mis ses équipes aux 32 heures. Les ouvriers témoignent être « plus zen », « plus à l’aise », et apprécient d’avoir le temps de former les « futurs collègues » et de « réfléchir à l’organisation de leur travail ».

Face à ces témoignages et aux velléités patronales d’une reprise folle des cadences, la CGT a lancé dans les usines du groupe et des filiales une enquête pour repenser l’organisation du travail et instaurer les 32 heures. Les avantages économiques de la réduction du temps de travail sont connus :

  • elle contribue à créer directement des emplois (+ 350 000 emplois directs au moment du passage aux 35 heures) ;
  • elle améliore la santé et la productivité des salariés ;
  • elle augmente leurs qualifications.

Qu’on soit clair : réduire le temps de travail ne peut se faire sans politique productive globale (ce qui impliquerait une forme de planification) ni sans investissement public massif dans des secteurs clés du point de vue environnemental.

C’est la seule manière de diminuer d’éviter l’explosion du chômage. C’est aussi à des lieues des dogmes partagés par le gouvernement et le patronat.

La bataille pour la réduction du temps de travail est ancienne, et elle a toujours donné l’occasion de luttes intenses. Le déconfinement en fait partie.

Réunion d’installation de la conférence sociale des Pays de la Loire : déclaration de la CGT

logo cgt pdl 2017La CGT salue enfin la première réunion de la conférence sociale à l’invitation du préfet de région. Pour rappel, nous avions demandé dès le début du confinement, une table ronde avec l’ensemble des acteurs pour un suivi de la crise sanitaire, de ses conséquences, et un échange sur les décisions à prendre.

À l’aune de cette crise sanitaire, sociale et économique, il nous faut analyser et repenser notre modèle de société. Pour la CGT, il s’agit de replacer l’humain au centre des préoccupations, s’interroger sur les finalités du travail. Se poser la question de l’utilité de l’économie qui doit répondre prioritairement aux besoins sociaux et environnementaux. Ces dernières années, les choix politiques et économiques ont surtout répondu aux exigences de rentabilité financière avec réduction de la dette publique et privatisation de pans entiers des services publics.

C’est ce que la CGT appelle le coût du capital.

L'intégralité de la déclaration : 2020_05_13_Declaration_liminaire_conference_sociale.pdf

La santé d’abord : à l’école comme ailleurs, pas de protection, pas de retour sur le lieu de travail !

Com PresseCommuniqué du Comité Régional CGT Pays de la Loire, de la CGT Educ’Action et de la CGT Fonction publique territoriale des Pays de la Loire

Dans un avis publié le 25 avril, le conseil scientifique indiquait : « Le risque de transmission est important dans les lieux de regroupement massif que sont les écoles et les universités, avec des mesures barrières particulièrement difficiles à mettre en œuvre chez les plus jeunes. En conséquence, la Conseil scientifique propose de maintenir les crèches, les écoles, les collèges, les lycées et les universités fermés jusqu’au mois de septembre.”

C’est donc contre l’avis du conseil scientifique, mais aussi de l’ordre national des médecins, que le gouvernement a décidé de rouvrir les écoles à compter du 11 mai.

Guidé par les exigences du Medef de reprise du travail, il aura donc fait le choix de privilégier les profits de quelques-uns au détriment de la santé de tous.

Sous couvert de lutte contre les inégalités scolaires pour mieux faire avaler cette décision irresponsable, le gouvernement organise une mise en danger générale pour une efficacité scolaire plus qu’amoindrie. Au regard du calendrier scolaire d’ici jusqu’aux vacances d’été et aux mesures adoptées pour l’accueil des élèves (seulement 15 par classe), nous pouvons estimer que chaque élève n’effectuera en réalité pas plus de 15 jours d’école, et ceci sans compter le temps nécessaire à la mise en place.

Considérant les dangers sanitaires que représentent cette reprise et les considérables moyens à déployer par les personnels de l’Éducation, les collectivités territoriales, les agents territoriaux et les familles pour tenter de garantir une sécurité minimum, le jeu en valait-il la chandelle ?

FD-20200507-Communique_CGT_Educ.pdf

Ni soldats, ni en guerre, ni héros

logo cgt pdl 2017Tribune du Comité Régional, des Union Départementales, des Unions Syndicales Départementales de la santé et de l’action sociale CGT des Pays de la Loire

L’épidémie de coronavirus actuellement en cours est un évènement sanitaire majeur qui montre avec une intensité particulière les fragilités de notre système de santé ainsi que de notre système social. Elle révèle la justesse des combats des personnels hospitaliers depuis des années.

Personnels aujourd’hui largement plébiscités par les populations voire par les politiques qui ont cassé l’hôpital public depuis plusieurs décennies. Ces mêmes personnels qui ont connu pendant les luttes de ces derniers mois, dénigrement, insultes et mépris. Ils ont connu eux aussi les répressions policières et judiciaires lors de leurs nombreuses manifestations pour leurs revendications et la défense du service public de santé.

Ce sont les choix politiques des différents gouvernements qui ont conduit à l’affaiblissement de notre système de santé en mettant en place des politiques de santé cadrées par l’objectif de réduction de la dette publique, aboutissant à la suppression de dizaines d’établissements, de services, y compris de soins intensifs.

100 000 lits ont été fermés et des dizaines de milliers d’emplois dans la santé ont été supprimés. Plans d’économies après plans d’économies, les différentes majorités présidentielles ont petit à petit détruit notre système sanitaire dans le seul but de réaliser des économies et de forcer les hôpitaux à s’endetter auprès des banques. Quelle aubaine pour les spéculateurs ! Au nom de la rentabilité, c’est la santé de toute la population que les décideurs politiques ont mise en jeu.

20200507_-_Tribune_CGT_Pays_de_la_Loire.pdf

Premier mai 2020

premier_mai_2020_conf.png Alors que le monde entier fait face à la pandémie, ce 1er Mai sera plus que jamais la journée internationale de luttes des travailleuses et travailleurs.

Depuis le début de la crise sanitaire, des millions de personnes sont confinées. De nombreux pays vivent grâce aux oublié·e·s, aux invisibles de nos sociétés, qui continuent à travailler, le plus souvent au risque de leur propre vie.

Les paroles de reconnaissance des gouvernements n’ont pas été suivies d’actes forts. Les mots sont évidemment insuffisants pour exprimer notre colère et notre détermination à faire changer les choses.

Nous porterons ce 1er Mai 2020, bien que confiné·e·s, les revendications qui sont plus que jamais d’actualité. Sacrifier la santé des travailleur·se·s n’est pas admissible

La santé, la sécurité, le droit de retrait, de grève, le droit syndical doivent être respectés ! Sacrifier les droits des travailleur·se·s sur l’autel de l’économie n’est pas tolérable et ne pourra continuer quelle que soit la situation

Ce n’est pas une prime donnée au bon vouloir du patron ou de l’employeur public, une aide ponctuelle aux plus modestes qui suffiront aux travailleur·se·s : ce sont de vraies revalorisations salariales du Smic et des salaires, en particulier dans les conventions collectives où ils sont les plus bas, tout comme dans la Fonction publique ! Sacrifier les plus précaires d’entre nous n’est pas admissible dans une société d’égalité et de solidarité

Vacataires, intérimaires, intermittent·e·s, services civiques, la précarisation des travailleur·se·s s’est multipliée ces dernières années et la situation des chômeur·se·s et étudiant·e·s a été dégradée, tout comme celle des sans-papiers aujourd’hui ignoré·e·s sur le plan sanitaire comme social.

Même confiné·e·s, manifestons toutes et tous le 1er Mai



https://www.cgt.fr/actualites/france/interprofessionnel/mobilisation/1er-mai-le-jour-dapres-je-veux-quoi

Oui à une conférence sociale régionale, non à l’Union sacrée

Com PresseLa CGT, avec d’autres organisations conscientes de l’urgence sociale et écologiques, n’a eu de cesse d’alerter nos gouvernements sur la fragilité des économies dominées par la mondialisation et la recherche de profits à court terme, avec le risque d’une crise économique et sociale plus violente que celle de 2008. La pandémie, ses conséquences sanitaires, sociales, économiques révèlent de manière tragique les effets des politiques d’austérité, les réformes de régressions sociales mises en œuvre ces dernières années. Le COVID 19 agit comme une étincelle sur un baril de poudre.

Face à l’urgence à rompre avec un système pour que le jour d’après ne soit plus comme le jour d’avant, le comité régional CGT des Pays de la Loire s’est adressé à plusieurs reprises au Préfet de région et au conseil régional pour exiger que les organisations syndicales de salarié-es puissent confronter avec eux et les organisations patronales, leurs analyses de la situation et les défis à relever pour les prochains mois, dans le respect de leurs diversités et responsabilités. C’est dans ce sens que la CGT a proposé l’organisation d’une conférence sociale sous la responsabilité du Préfet de région.

Alors qu’aujourd’hui des discussions sont prévues entre Édouard Philippe, le patronat et les organisations syndicales au plan national, une réunion préparatoire à la conférence sociale est organisée dans notre région Pays de la Loire en dehors de toutes règles démocratiques et dans l’irrespect total de la place et du rôle de chacun des acteurs. Elle est convoquée par 4 organisations syndicales (les plus conciliantes avec les thèses patronales et gouvernementales) et 4 organisations patronales sur la base d’un cadre de travail qu’elles ont réalisé ensemble.

Le Conseil Régional, invité, devrait y participer. Tout comme la Direction régionale du Travail qui y présentera le plan de reprises d’activités travailler par les services régionaux du ministère du travail, laissant ainsi dans l’ignorance de ses propositions, les organisations qui ne seront pas présentes à cette parodie de dialogue social territorial.

Le sujet de dé confinement, avec toutes les interrogations qu’il suscite mérite autre chose que ce simulacre de concertation. La question de la reprise du travail, du chômage partiel, du télétravail ; la réouverture des écoles ; le sujet des transports, les aides aux entreprises et aux familles ; la situation des salariés, des précaires ; l’égalité Femmes-Hommes les inquiétudes sur les activités économiques dans les secteurs de l’industrie, du commerce, du tourisme ; la question des masques, du gel, des tests, etc... nécessite un peu plus de sérieux. Cette pseudo-conférence révèle avant tout les arrangements entre certaines organisations syndicales et le patronat plutôt qu’une véritable volonté d’écouter toutes les propositions, y compris celles que porte la CGT, et qui ne rentrent pas dans le moule de la pensée unique.

Emmanuel Macron a dit lors de sa dernière allocation télévisée qu’il tâcherait de dessiner un chemin avec toutes les composantes de la nation, comme un appel à l’unité nationale au vu de la crise sanitaire et ce qu’elle révèle. Pour la CGT il ne saurait être question de tomber dans le piège d’une unanimité de façade. Tirer les leçons de la crise, sans oublier de pointer la défaillance de choix politiques tournant le dos à l’intérêt général, commence par changer de pratique en matière de « concertation sociale », par une écoute plus soutenue de TOUTES les organisations syndicales dans l’intérêt des salariés, des retraités, de la jeunesse.

Elle exige un acte fort du Préfet de Région pour aller dans cette direction, en organisant une véritable conférence sociale qui doit permettre d’identifier et d’analyser nos réalités ligériennes, et de débattre de propositions qui répondent aux besoins de développement des services publics et de l’industrie comme éléments d’aménagement équilibré du territoire. Les questions sociales et environnementales sont à remettre au coeur des politiques et financements publics. Il s’agit de placer l’Humain au centre des préoccupations.

En conséquence, la CGT ne se rendra pas à la réunion convoquée par la CFDT, la CFTC, l’UNSA, la CGC, le Medef, la CPME, l’U2P, la FRSEA.

Angers le 30 avril 2020

Covid19 : informations pratiques pour les salarié.es (juridiques) face à la crise

cgt conf logoLa CGT met à disposition plusieurs informations utiles pour faire face à la crise Covid19 :

Coronavirus : confinement et teletravail.pdf

Coronavirus : Indemnités Journalières Sécurité Sociale.pdf

Coronavirus : conseil des prudhommes.pdf

Coronavirus : droit de retrait et action syndicale et du CSE.pdf

Coronavirus : rupture du contrat de travail.pdf

Question réponse : Mon employeur veut me faire signer un papier

Plus Jamais ça, construisons ensemble le Jour d’Après !

15 associations et syndicats lancent une pétition pour un Jour d’Après écologique, féministe et social (#PlusJamaisCa, signons #PourLeJourDapres) plus_jamais_ca.jpg

À la suite de la tribune « Plus jamais ça, préparons le jour d’après », les organisations Action Non-Violente Cop21, Alternatiba, Amis de la Terre, Attac France, CCFD Terre Solidaire, CGT, Confédération paysanne, Convergence nationale des Services publics, Fondation Copernic, FSU, Greenpeace France, Oxfam France, Reclaim Finance, Solidaires, 350.org, lancent, aujourd’hui, une pétition nationale pour défendre des mesures urgentes et de plus long terme, porteuses de profonds changements politiques.

Cette pétition appelle les citoyen·ne·s qui partagent le constat dressé d’urgence sociale et écologique et en ont assez des discours creux à se mobiliser pour que le « Jour d’Après » soit construit ensemble, en rupture avec les politiques menées jusque-là.

Les solutions existent, agissons !

Je signe la pétition

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